Ma journée sur le chemin
Parti comme d’hab vers les 8h30 sans la frontale :-) après une nuit on va dire meilleure.
J’avais prévu de la casser en deux c’est ce que l’on vient de faire mais pas comme je pensais.
Une étape qui ne restera pas dans les anales du Torres. Passé le pont du fleuve et sa belle église bien évidement fermée, le centre est vite traversé alors s’en suit des zones artisanales, jardins, lopins de vigne…. Ce n’est que grimpettes sur pavés principalement et entre les maisons.
C’est fou voir déroutant toutes ces baraques partout partout partout !
Il n’y a pas un km carré sans maison bâtie et à perte de vue.
C’est simple, nous sommes arrivés à Felgueiras sans quasiment voir un bois, un champ …. Tout n’est que maisons, domaines, vignes.
Beaucoup sont à l’abandon même dans les centre ville/village.
Grandeur et décadence du Portugal lorsque je vois de grands domaines viticoles à l’abandon, les fenêtres murées, lorsque je vois de grandes maisons effondrées.
Il fut un temps où sûrement !
Mais lorsque je vous le nombre de voitures neuve ou très récentes Mercedes, BMW ( et pas des petites) Jaguar, Range Rover, Audi qui circulaient aujourd’hui au nord de d’Amarante, les portugais vivent bien. Cela contraste radicalement avec les villages que nous aviez traversé quelques jours plutôt.
Je disais donc que j’ai cassé l’étape en deux en prenant une chambre dans un BandB à 57 balles la chambre mais au calme histoire de récupérer encore en peu cette nuit.
Demain nous rejoignons Guimaraes avec quelques 18/20 km et dormirons à l’auberge de jeunesse. C’est le moins cher ouf : 49 euros !!!!
Quand je vous dis que le Torres coûte cher !
Alors des nouvelles de ma santé. Ce matin une pharmacienne m’a conseillé des cachets contre la toux qui brûle.
Entre paracetamol et ibuprophene en alternance laissons faire les choses. Disons que c’est mieux qu’hier !